︎︎︎JIM’S CHAIR (2023)
Je traine les pieds dans les petites ruelles de Bangkok.
Je m’arrête à chaque coin de rue contemplant les dizaines de structures abandonnées qui jonchent les trottoirs imaginaires de la capitale thailandaise. Des sièges inventés, des étendoirs revisités. Une bassine retournée à laquelle on a ajouté un coussin; un banc fait de l’assemblage de vieilles barrières qui ne tient pas très bien; un plot auquel on a greffé un dossier. Ce mobilier sauvage retient mon attention. Tout à coup, je traverse un chantier, des centaines de pièces de métal sont abandonnées sur le côté de la chaussée.
À mon tour, en l’espace d’une heure, je viens faire pousser une autre chaise sauvage.
Je m’arrête à chaque coin de rue contemplant les dizaines de structures abandonnées qui jonchent les trottoirs imaginaires de la capitale thailandaise. Des sièges inventés, des étendoirs revisités. Une bassine retournée à laquelle on a ajouté un coussin; un banc fait de l’assemblage de vieilles barrières qui ne tient pas très bien; un plot auquel on a greffé un dossier. Ce mobilier sauvage retient mon attention. Tout à coup, je traverse un chantier, des centaines de pièces de métal sont abandonnées sur le côté de la chaussée.
À mon tour, en l’espace d’une heure, je viens faire pousser une autre chaise sauvage.